Une analyse de "Les Saveurs du Palais"

    Récemment, j’ai vu le film « Les Saveurs du Palais » ou, en anglais, « Haute Cuisine. » Il a pour vedette Catherine Frot, Arthur Dupont, et Jean d’Ormesson, qui sont des acteurs français. Le film raconte l’histoire de Hortense Laborie, une femme qui était choisie comme le chef personnel du président français. C’est une histoire vraie et il présente les problèmes qu’elle a affronté dans la cuisine. Les techniques du film reflètent cette intrigue.

    Les jeux de trois acteurs principaux faisaient l’intrigue plus croyable. Les personnages étaient très réalistes et je me croyais vraiment dans un autre monde. J’adorais la performance de Dupont, en particulaire. Sa personnalité est anxieuse et il était amateur, et je croyais cela. Les couleurs du film sont très chaleureuses ; il y a beaucoup des nuances de couleur rouges, brunes, et oranges. Le réalisateur voulait surligner la sensation chaleureuse et familiale qu’on se sent pendant qu’on cuisine. C’était un magnifique portrait de cette sensation. J’aimais aussi les différences frappantes entre les tons rustiques de la cuisine de Hortense, l’éclairage sévère et les couleurs blancs et gris de la cuisine principale, et la formalité du palais. Ce présente leurs motivations différentes. Comme une téléspectatrice, je pensais que Hortense était plus sympathique car de l’éclairage chaleureuse pendant ses scènes, qui influençait mes sentiments sur « Haute Cuisine. »

    En tout, mon avis du film est mitigé. L’avantage de voir ce film est les personnages. Je trouve que les caractères sont fascinants ; c’était facile de connecter à eux. Si vous êtes une personne qui aimez un bon caractère pour appuyer, ce film est pour vous. Pourtant, à mon avis, l’intrigue est inutile. Hortense cédait à l’impolitesse de la cuisine principale. Je souhaitais qu’elle réussît, parce que je m’intéressais à elle. Il n’y avait pas de résolution propre avec le président. Leur relation est une partie importante de l’intrigue et nous ne le voyions jamais revu. Je souhaitais que ces personnages sympathiques, que j’aimais, soient donnés fins plus complets. Alors, mes sentiments sont mitigés.